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07/11/2010

Lettre de Chester, jack russell terrier

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LETTRE D’UN CHIOT À SA MAÎTRESSE

 

Né sous le signe du Scorpion, le 17 novembre, précisément comme toi, je possède, ainsi que mes frères et sœurs venus au monde le même jour que moi, ton caractère passionné.

Appartenant à une famille de chiens de race, je n’en retire cependant aucune vanité. Entouré de l’affection des miens et choyé par toi, ma maîtresse bien-aimée, et tes amis, je suis aussi heureux que l’on pourrait souhaiter de l’être à tous les bébés chiens du monde entier. Conscient  et ravi – d’être un peu le chouchou de la bande, je te suis profondément reconnaissant, chère Maîtresse, de tous les soins que tu me prodigues avec amour. Merci aussi à Frederick qui m’accompagne régulièrement, lors de mes promenades quotidiennes.

Mes compagnons et moi-même gambadons avec joie dans le bel appartement spacieux. Parfois, bien sûr, nous aimerions tant pouvoir courir en plein air, sans entraves, sans laisse autour du cou, libres, quoi!  Hélas, le voisinage ne nous le permet pas et je me suis même laissé dire qu’à cause de notre présence, tu devrais peut-être, bientôt, quitter cette jolie résidence!?...

Si tel était le cas, je te supplie, ma chère Maîtresse, de ne pas m’abandonner à d’autres nouveaux maîtres; s’il te plaît, garde-moi avec toi et ne me sépare pas des miens, au moment où je suis justement en train de m’épanouir, trottinant allégrement vers mes trois mois!

Et si nous étions vraiment obligés, malheureusement, de quitter notre lieu de séjour, épargne-nous de vivre confinés dans un appartement étroit, logis synonyme pour nous de prison.

Je souhaite ardemment que tu puisses enfin « dénicher » La jolie maison à la campagne, tu sais, La maison que tu décris si bien, La maison que je vois chaque nuit dans mes rêves, La maison qui enchanterait tes proches, La maison…  Notre maison!

N’oublie pas : je t’aime.

 

                                                                                                                                              Chester

31/10/2010

Résoudre, simplement...

Problème de langage : la mode qui consiste à utiliser, depuis quelques années, de nouveaux mots ridicules et compliqués, souvent très longs et toujours horribles! Et si la solution était d'employer les mots existant déjà, justes et simples? Le vocabulaire français n'est-il pas suffisamment riche?

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Certains se gargarisent en prononçant le mot solutionner, par exemple. Quel charabia! Pourquoi ne pas dire, simplement, résoudre?

 

Au sujet de ce mot, voici ce qu'en dit le Dicomoche : " Une des plus belles réussites du causer moche de ces dernières années. Le long solutionner fait bien plus sérieux que le court résoudre, du moins dans l’esprit de ceux qui l’utilisent avec une componction pleine d’assurance. Avantage certain : c’est un verbe du premier groupe, donc facile à conjuguer. « Faut-il que je solutionne? » est plus facile à trouver que « faut-il que je résolve? ».
Avec de tels néologismes, on va arriver à solutionnement, solutionnementer, solutionnementationner, etc. On peut aussi imaginer dissolutionner (pour dissoudre), absolutionner, conclusionner... "

Source : http://www.dicomoche.net.



 

 

 

 

 

23/10/2010

Francophonie

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XIIIe Sommet de la francophonie à Montreux, du 22 au 24 octobre

 

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Liliana Lazar, lauréate 2010 du Prix des cinq continents de la Francophonie

L’auteure roumaine Liliana Lazar a été désignée le 27 septembre lauréate de l’édition 2010 du Prix des cinq continents de la Francophonie pour son premier roman, Terre des affranchis (Ed. Gaia, Paris, 2009). " Un conte cruel, politique et métaphysique où, dans la lutte entre le bien et le mal, devant la brutalité des faits, il n’y a pas de rédemption ", a résumé le Jury.

Source : http://www.francophonie.org.

 Il est à déplorer que ce Sommet soit, en réalité, plus politique que réellement francophone...