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26/12/2010

Féminisation des mots

Lu dans femina.ch : "Aucun nom n’a été soufflé concernant sa succetrice." (sic)!

www.femina.ch

Le mot successeur n'étant pas un nom de profession ou de fonction, un féminin néologique n'est pas nécessaire.

Source : http://orthonet.sdv.fr/

Ma note du 5 juin 2010 évoquait déjà la féminisation à outrance des mots...

http://amourdelalanguefrancaise.blogspirit.com/archive/20...

05/06/2010

Féminisation à outrance des noms

Si certains noms de métiers, féminisés, ne choquent pas, il n'en est pas de même pour tous. En effet, le mot romancière, par exemple, sonne joliment à l'oreille. Mais féminiser à l'excès peut conduire à des néologismes aberrants comme professeure, écrivaine, auteure ou, pire! autrice.

Dirait-on la sapeuse-pompière? Non, ce serait ridicule. Idem pour la responsable d'une équipe sportive, que l'on n'oserait pas appeler l'entraîneuse. Et que dire de la maîtresse d'hôtel, nom tout aussi ambigu?

Il est préférable d'utiliser des noms épicènes. Exemples : la pianiste; la gynécologue; la juge.

Après tout, le masculin de sage-femme n'existe pas...