Amour de la langue française

Roman torride de Muriel Cerf, qu'André Malraux avait ainsi complimentée : " Vous possédez un don des dieux : le talent narratif. "

« ..c'était un slip fendu aussi bien que le sabot du bouc ou la bourqâ d'une femme afghane...»

Au cœur d'un été caniculaire, abandonné par Ariane, son épouse, Gilles Morgenstern broie du noir.  En partant, la fugitive a emporté une culotte de soie blanche, cadeau qu'elle avait reçu de son dernier prétendant, avant son mariage avec Gilles. Or, elle a toujours refusé de porter cette pièce de lingerie fine devant son époux...

L'amour des animaux chez les musulmans.

Qu'elle soit véridique ou pas, cette histoire est fort jolie.

" Pour les musulmans, le chat serait  né sur l'arche de Noé. Le lion, alors que l'arche était infestée de rats, se serait gratté le museau. Il éternua et fit naître un couple de chats (l'expression « avoir un chat dans la gorge » viendrait de cette histoire). Si le chat n'aime pas la pluie, cela viendrait aussi de Noé qui aurait puni le chat en l'envoyant sur le pont supérieur de l'arche, parce que l'animal aurait fait ses griffes sur le bois du bateau.

Dans le Coran, il serait dit que le prophète Mahomet aurait préféré abandonner un morceau de son vêtement plutôt que réveiller sa chatte, nommée Muezza, qui dormait dessus. Elle l'aurait alors remercié par une révérence et Mahomet aurait accordé aux chats le don de toujours retomber sur leurs pattes; on prétend même que Mahomet aimait tellement sa chatte qu'il la prenait dans ses bras pour aller prier à La Mecque.

L'islam interdit de tuer les chats et ces animaux sont d'ailleurs libres d'entrer dans les mosquées et sont très respectés des musulmans. Le chat est assuré de trouver sa place au paradis musulman.

Il paraît même que le reste de l'eau bue par un chat reste pure! "

Source : http://www.bladi.net/forum/130998-chat-lislam

Œuvre (en partie autobiographique) écrite par l'auteur russe Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski qui dépeint, notamment, une ville allemande imaginaire, Roulettenbourg, une jeune veuve, Pauline, une babouchka excentrique et le vice - et la drogue - qu'est le jeu.

Éperdument amoureux de Pauline, ruinée, le précepteur Alexeï Ivanovitch joue d'abord pour elle, avec l'espoir d'éponger ainsi ses dettes. Entraîné dans le tourbillon de la passion et d'une certaine folie, il se prend ensuite littéralement au jeu et mise compulsivement pour lui-même, aveuglé par la perspective de faire fortune. Il découvre ainsi les affres de la dépendance aux jeux de hasard.

Ce roman aurait aussi pu s'intituler La joueuse.