28/05/2016
Brillants soleils, de Muriel Cerf
Brillants soleils
Roman de Muriel Cerf publié à titre posthume, en deux tomes : Bien-aimées et Carnets de Londres
« Une écriture flamboyante ! » Babelio
« Les sœurs, Saskia et Lara, l'une blonde et brillante, l'autre brune et sauvage... »
Écriture
Quel bonheur de pouvoir lire encore Muriel Cerf, romancière à la plume ô combien merveilleuse !
12:49 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : muriel cerf, brillants soleils, bien-aimées, carnets de londres, écriture, roman
28/05/2013
Le Verrou, roman de Muriel Cerf
Muriel Cerf, talentueuse romancière, s'est éteinte il y a un peu plus d'un an, le 19 mai 2012. Elle a, entre autres bijoux, écrit Le Verrou.
« Le verrou, c'est celui qui fermait la porte des combles de la villa où Massimo Cuori entraînait jadis Nora Neumann pour célébrer, avec une religiosité fanatique, le corps de sa jeune mâtresse. »
Actes Sud
« Muriel Cerf, auteur d'un sublime objet, comme si l'on tournait les pages ultrafines d'un livre de contes au milieu d'une tempête. »
Rose-Marie Pagnard
Le Nouveau Quotidien
Lausanne - 13 février 1997
« Muriel Cerf, magicienne de l'indicible : aussi riches, aussi savoureux que les onctueuses pâtisseries que l'on déguste à Vienne, ses romans s'adressent aux vrais gourmets de la littérature.
Le Verrou, son dernier livre, n'échappe pas à la règle..
Six cents pages serrées autour du thème de la passion.
Un véritable festin de mots! »
Elisabeth Barrillé
Atmosphères - mai 1997
16:04 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le verrou, muriel cerf
09/06/2012
Une Passion, de Muriel Cerf
Encore une note sur la romancière Muriel Cerf qui nous a, malheureusement, quittés le mois dernier.
Dans un récent article, Le Nouvel Observateur l'a décrite « nomade au style flamboyant et à la beauté éclatante ».
Voici un extrait de son roman intitulé Une Passion :
« J'enclouerai ton ombre et l'empreinte de ton pas.
Fini de ton talent, mécréante. J'émousserai les pointes affûtées de tes sens et tairai les salves crépitantes de ta damnée énergie. Tu perdras ta folie sagace, ta tendresse pour le règne animal, végétal, minéral (tu en inventerais d'autres si je te laissais la bride sur le cou), ta jeunesse pathologique (j'ai ta vie devant moi, le si vieux bougre), ton esprit ricaneur, offensif, tes joutes oratoires avec la mort qui me vexent affreusement car je n'y participe pas (j'ai enfin lu tes livres et je te connais, imprudence autobiographique !), oublie, donc, ta moquerie câline et tes pieds de nez au quotidien, cette faculté d'être à la fois croyante folle de Dieu et iconoclaste.... Amour, je guérirai ta folie, ce sera la fin du dialogue avec Dieu et gens faisant suite, et du don que tu Lui dois.
Oublie l'écriture, chose phallique, les mots, tes mantras charmeurs-du-monde. Oublie tes chères correspondances entre la mer, la musique, les parfums, et tes recours aux sciences diagonales. Je te veux mon épouse.... »
14:43 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : muriel cerf, une passion