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05/06/2010

Féminisation à outrance des noms

Si certains noms de métiers, féminisés, ne choquent pas, il n'en est pas de même pour tous. En effet, le mot romancière, par exemple, sonne joliment à l'oreille. Mais féminiser à l'excès peut conduire à des néologismes aberrants comme professeure, écrivaine, auteure ou, pire! autrice.

Dirait-on la sapeuse-pompière? Non, ce serait ridicule. Idem pour la responsable d'une équipe sportive, que l'on n'oserait pas appeler l'entraîneuse. Et que dire de la maîtresse d'hôtel, nom tout aussi ambigu?

Il est préférable d'utiliser des noms épicènes. Exemples : la pianiste; la gynécologue; la juge.

Après tout, le masculin de sage-femme n'existe pas...