22/01/2012
L'étoile d'or, de Daniel Zufferey
Une étoile à six branches en or, un flacon de gaz mortels, tels sont les ingrédients du colis meurtrier reçu par trois banquiers suisses à la retraite. Mort bien ironique pour ces anciens gardiens du trésor du Reich!
Et c'est bien sûr à Christophe Meyer, spécialiste des affaires gênantes, qu'on confie l'enquête. Mais cette histoire tombe très mal dans une Suisse où le fantôme de l'or nazi, sorti des limbes où d'aucuns l'auraient bien vu sombrer, divise la classe politique.
Alors, représailles de juifs floués de leur héritage, complot de l'extrême droite pour raviver les haines antisémites, ou vengeance personnelle? À l'ombre des montagnes helvétiques immaculées, les vieux démons n'ont pas fini de se réveiller...
L'Étoile d'or, Librairie des Champs-Elysées, Paris, 1998.
Source : culturactif
Né le 24 mai 1969 à Sion, Daniel Zufferey a vécu à Neuchâtel et à Montreux. Après avoir obtenu une maturité latin grec au Lycée-collège des Creusets à Sion, il entreprend de 1989 à 1991 des études de droit à l'Université de Genève puis des études de lettres à l'Université de Lausanne de 1991 à 1994.
Daniel Zufferey a été employé au département de l’information immédiate à la Radio Suisse Romande et comme journaliste stagiaire à La Presse Riviera / Chablais. Il fut aussi journaliste à L'Express à Neuchâtel. Il a également obtenu un certificat non professionnel de piano au Conservatoire cantonal de musique de Sion. Il se consacra au roman.
En 1998, il reçoit le Prix du roman policier du Festival Cognac pour L’Étoile d’or. Daniel Zufferey s'est donné la mort en janvier 2005.
Source : www.wikivalais.ch
Les trois autres livres que Daniel Zufferey a écrits sont :
- Douze ans de mensonge, 1998 ;
- Les entrailles du Christ-Roi, 1999 ;
- La mort en festival, 2004.
14:12 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : daniel zufferey, l'étoile d'or
Commentaires
Mais cette histoire tombe très mal dans une Suisse où le fantôme de l'or nazi, sorti des limbes où d'aucuns l'aurait bien vu sombrer, divise la classe politique.
J'aurais écrit : "d'aucuns l'auraient vu sombrer"
Cordialement
Écrit par : Françoise | 12/02/2012
Bien vu! Merci. C'est Culturactif qui a commis la faute, mais j'aurais dû vérifier avant de copier-coller. C'est corrigé. J'ai aussi ajouté un accent sur le A majuscule. Cordialement,
Écrit par : Chrissie | 12/02/2012
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