Amour de la langue française

Œuvre (en partie autobiographique) écrite par l'auteur russe Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski qui dépeint, notamment, une ville allemande imaginaire, Roulettenbourg, une jeune veuve, Pauline, une babouchka excentrique et le vice - et la drogue - qu'est le jeu.

Éperdument amoureux de Pauline, ruinée, le précepteur Alexeï Ivanovitch joue d'abord pour elle, avec l'espoir d'éponger ainsi ses dettes. Entraîné dans le tourbillon de la passion et d'une certaine folie, il se prend ensuite littéralement au jeu et mise compulsivement pour lui-même, aveuglé par la perspective de faire fortune. Il découvre ainsi les affres de la dépendance aux jeux de hasard.

Ce roman aurait aussi pu s'intituler La joueuse.

Roman gai et, comme l'indique son titre, empreint de douceur.

Il y est question d'une semaine très agitée, dont un mercredi noir et un jeudi lumineux. L'action se déroule dans un petit port de pêche californien.

En guise de résumé et pour ne pas trop en dévoiler, je dirais seulement que l'auteur américain, John Steinbeck, narre la rencontre de Doc, fraîchement démobilisé et désenchanté, avec Suzy, jeune femme - ô combien attendrissante! - dite de petite vertu.

Kyra Kyralina est le titre d'un des romans de Panaït Istrati, ce " conteur-né d'Orient ", " nouveau Gorki des pays balkaniques ", comme l'a si bien décrit Romain Rolland qui l'a découvert.

Ce livre exotique, à dévorer, m'a beaucoup touchée. Je recommande vivement sa lecture enivrante à tous ceux qui ne le connaîtraient pas déjà. Enchantée par toutes les narrations de cet écrivain vagabond, j'ai une préférence marquée pour Kyra Kyralina. Dès la première page, ce récit haut en couleur relatant les aventures d'Adrien, le héros, nous embarque pour un voyage captivant.

Véritable livre coup de cœur.